La dernière page fut bouclée à une heure nocturne de lecture, lorsque le monde dort. L’on en sortit séduit par ce récit peu commun porté par une voix –une langue– peu commune ; tout le synonyme d’une grande œuvre.
C’était A la fleur de l’âge de S. J. Agnon, auteur israélien aussi important qu’Amos Oz et Aharon Appelfeld.