L’intensité n’a rien à voir avec le caractère extraverti. La musique peut être brûlante sous les doigts calmes de Stravinsky presqu’impavide ; voici un oiseau de feu qui se consume sans fin sous le regard pétillant du compositeur.
Comme le répète WebOL, la Musique est Danse, faite de regards et des sons. Regardons avec les tympans, 7 minutes à couper le souffle de tous les volatiles.
– Autre version des 3 dernières minutes de l’Oiseau de Feu, par Claudio Abbado et les Berliner Philharmoniker.
– Autre version (Valery Gergiev ?) du solo de basson.
– Merci à un Fagott, qui se reconnaîtra et (ajout de mars 2009) à Elektra-au-clavier.