Dire combien il fut un grand homme serait truffé de platitude à propos de la liberté et de Clio ; rien ne remplace les mots d’Adrian Michnik lors de ses funérailles. Voix francophone, le Taurillon fit un billet pour situer l’homme ; Esprit lui dédie son éditorial « Pour Boris Geremek homme de conviction démocratique« .
EurOL apprit sa disparition alors même qu’il était sur les routes d’Europe, soudainement voilées d’une éclipse.