Il n’y a jamais trop de places pour la lecture. L’on voudrait demeurer sur une marche disparu dans du papier et de l’encre entre terre et ciel et terre, selon que l’on monte ou descende.
C’est là que l’on pourrait vivre en lisant en écrivant, en regardant sur écran de temps à autre les sélections graphiques et visuelles soignées de Fubiz (entre autres).