(Se) publier en ligne

The same post should be issued for the english-writing-and-reading part of the internet. It would be presumably.

La publication en ligne, plus que « numérique » car la publication cellulosique est hybridée de logiciels en pré-presse et de presses éponymes en atelier, en ligne donc laquelle cherche assurément son modèle économique si tant est qu’il soit unique. Dans le monde francophone quelques acteurs sont actifs, discutant et polémiquant. François Bon de Tiers Livre est le maître d’œuvre de l’éditeur Publie.net mais aussi de la revue Remue.net, l’éditeur Numeriklivres au Canada publie aussi le blog Comprendre le livre numérique, Laurent Margantin d’Oeuvres Ouvertes n’est pas en reste ; ceux-là pépillent de manière particulièrement volubiles (Twitter/@fbon, @numeriklivres, @oeuvres_o & @roidesediteurs).

Ce billet-ci a vocation à se développer, pour attraper dans le filet d’OL (aka WebOL) d’autres animaux : François Crouzet, Constance Krebs, etc. que l’on peut suivre aussi sur @webol/egutenberg (ie. Twitter). Pour ce qui est de l’édition scientifique francophone, dans le domaine des dites Sciences Humaines & Sociales (ou : Digital Humanities), l’unique point de départ est OpenEdition.org regroupant Revues.org, Hypotheses.org, etc. ; ce qui est un autre thème.

Bref, retenons deux explicitations méritant d’être lues, celles de Laurent Margantin :

Pourquoi je publie en numérique (2010-02).
Pourquoi je mets mes nouveaux textes en téléchargement gratuit (2011-02).

Re-bref, chut j’écris dirait EcritOL.

& :
Édition électronique | Revues.org ? | Publication ? (@webOL).

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