Trace et mémoire de l’écriture

A la jointure de l‘auto-publication et de la matérialité-du-savoir, ici signalés récemment, l’échange un tantinet polémique sur la perte de la mémoire. Le recours aux outils électroniques serait l’amnésie. En réponse à Pierre Assouline faisant résonance de l’essai de Pierre-Marc de Biasi (de l’ITEM), François Bon, en son Tiers Livre, argumente pertinemment que la figure de l’écrivain entouré de ses brouillons, reprises et notes est l’une parmi d’autres, qui n’est pas intemporelle ; que la mémoire et la trace, aussi, ne sont pas exclues de l’univers actuel pour lequel, ajoutons, il n’est pas de Grand Partage entre le papier et le numérique.

Comme le dit FB, l’on aimerait tant lire entièrement l’argument de PMdB pour soupeser la finesse de son discours. Contentons-nous, pour l’heure du moins, du billet de PA sur son blog -qui ressemble bien à sa propre mémoire de billettiste-. 

& :
Tiers-Livre | Publie.net | Twitter/@fbon (François Bon).
Institut des Textes et Manuscrits modernes (ITEM).
Publication ? | Twitter/@webol/egutenberg (webOL).

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