La planète éditoriale voit sa population augmenter d’individus séduisants.
La revue Desports présente le sport plus richement le relevé des performances, à l’instar de que sont les Sciences et les Techniques (comme signalé par ailleurs) : le sport n’existe pas en apesanteur, dans un monde imperméable à la politique, à la culture et à l’économie, moins encore au temps. Les éditeurs de cette nouvelle revue ont déjà sévi par la création de Feuilleton « qui passe en revue le monde« .
Dans la première livraison, il serait à recommander Luz Long & Jesse Owens, les amis de 36 par Pierre-Louis Basse, Abécédaire de la petite reine belge par Bernard Chambaz, La résistible ascension de Jean-Marie Balestre par Lionel Froissart (l’auteur courant de Bords de pistes, blog de Libé) entre autres textes dont la mise en page est soignée graphiquement non sans bénéficier d’une impression-reliure à louer.
A ce jour, la revue ne propose pas de site dédié (Revuedesports.com se présente derrière un écran de chantier) mais elle bénéficie d’un appel de l’écran de sa grande soeur Feuilleton pour annoncer l’opus 2 tout fraichement arrivé dans les rayons des libraires.
Desports ?
Nous est revenu ce vieux mot français, le « desport », qui désigne autant les jeux de l’esprit que ceux du corps : « ‘divertissement, plaisir physique et de l’esprit » nous renseigne le dictionnaire. Tous les sports, donc le livre Desports.
(Clin de clic à lLNdV).