Qui ne connaît pas Joseph Haydn pourrait croire que le plus bel Alléluia de l’histoire est celui si célèbre et entraînant du Messie de Haendel. Peut-être : qu’il ou elle écoute le choeur Vollendet ist das große Werk (le titre vaut programme, Google Translator pouvant certes aider au besoin, mais Reverso est souvent meilleur), tiré de Die Schöpfung (La Création, évidemment, comme pour filer la métaphore démiurgique).
A lire une partition d’Haydn de préférence à celle de Haendel, l’on est ébouriffé presque à perdre haleine en suivant son écriture harmonique dont la virtuosité contrapuntique n’a rien à envier me semble-t-il à celle de Bach.Tout débat urbain est néanmoins possible car la musique n’est pas une compétition sportive.
En bonne cadence, voici pour l’édition 2013 la Pêche du Canard (aux bons becs de DuckDuckGo, car il n’est pas que Google). Pour écho, car la musique ne vieillit pas :
Sainte-Cécile 2008 (Messiaen) | Sainte-Cécile 2009 (Purcell) | Sainte-Cécile 2011 (Bach) | Sainte-Cécile 2013 (Haydn).
Pour croquer les notes, les mots ont leur charme, tel le pense EcritOL.