« L’éloge des cent papiers »
« Comme Machiavel, je viens souvent m’asseoir, la nuit, parmi mes livres. Si j’écris plus volontiers le matin, la nuit j’aime lire dans le silence profond, quand les triangles lumineux des lampes de lecture partagent ma bibliothèque en deux. Au-dessus, les étagères supérieures disparaissent dans l’obscurité ; au-dessous, c’est la section privilégiée des titres éclairés. (…) […]